L’atelier d’Aide à la Vie Active

L’Atelier d’Aide à la Vie Active propose une activité rémunérée qui favorise et dynamise la réinsertion sociale et professionnelle des personnes suivies par TARMAC.

Se mettre en situation de travail

L’atelier se situe dans une logique de requalification sociale, il est destiné à mettre en situation de travail.

  • Permettre par le travail une aide progressive à la vie active
  • Proposer des conditions de travail se rapprochant du droit commun
  • Mettre les personnes dans une dynamique emploi
  • Offrir un accompagnement individualisé des personnes accueillies
  • Observer et évaluer les personnes en situation de travail
  • Suivre individuellement la progression globale des personnes
  • Préparer la sortie du dispositif en fonction des compétences
  • Gérer l’activité commerciale et de production

Notre savoir-faire est d’utiliser « l’activité de production » comme ressource dans le parcours individuel d’insertion professionnelle des personnes.

Notre champ d’intervention est lié à une activité de façonnage de table et de conditionnement et notamment : « second œuvre / bâtiment » et « multi-activités : stockage et ménage ».

Pascal Hatton : Encadrant technique

Stéphanie maillard : conseillère en orientation professionnelle

Jardins de Vaujoubert, l’emploi en milieu naturel

Quatre hectares et demi tout au bout de la zone d’activités de Rouillon, dans le quartier de l’université. C’est ici, que TARMAC, depuis 2002, a implanté les Jardins de Vaujoubert, un Atelier Chantier d’Insertion autour du maraîchage qui emploie et accompagne en permanence vingt personnes en parcours d’insertion.

Les Jardins de Cocagne, un concept construit autour de trois principes : agroécologie, insertion par le travail et développement des circuits courts, c’est-à-dire la vente directe du producteur au consommateur.

Vous pouvez acheter les légumes bio de Vaujoubert en accédant à notre site lesjardinsdevaujoubert.fr

« L’Atelier Chantier Insertion est le premier niveau d’employabilité. Les personnes sont employées en CDDI, c’est à dire en contrat à durée déterminée d’insertion », explique Stéphanie Maillard, conseillère en insertion professionnelle. « Elles sont embauchées pour une durée de six mois, renouvelable jusqu’à 24 mois en fonction de leur engagement dans le parcours. Mais le but n’est pas de les garder aussi longtemps ».

Le but, au contraire, est bien de les accompagner vers un projet professionnel viable, qui les ramènera sur le marché de l’emploi.