L’accueil de jour familles : le Viaduc


Dans l’accueil de jour dédié aux familles, on peut :

Prendre un repas

Prendre une douche

Laver son linge

Consulter un médecin

Se reposer

Dans les locaux du Viaduc, ce sont prés de 50 familles qui sont accueillies, 7J/7.

L’accueil de jour des familles est, de toutes les actions portées par TARMAC, celle qui mobilise le plus les forces bénévoles. Ils sont une centaine à épauler les professionnels pour proposer un accueil digne et convivial.

Récit : Instant de vie dans lieu d’accueil

Sur un coin de table, deux petites filles, trop jeunes pour être scolarisées, ont réquisitionné le pot de crayons de couleur. Leurs mères discutent, en pliant le linge fraîchement lavé. Un père récupère son courrier, une mère demande une consultation avec le pédiatre.

Orientée par le Secours catholique, une jeune femme monte dormir quelques heures dans l’un des lits dédiés à la sieste. Dans le réfectoire, familles et bénévoles au coude à coude dressent les tables pour le goûter.

La Flambée


Située en plein centre-ville du Mans, dans une ancienne maison, la Flambée est un espace chaleureux et convivial qui assure 5j/7 en après-midi, l’accueil des personnes isolées, qu’elles soient à la rue ou non.

Ici, elles peuvent partager une boisson chaude ou un soda, grignoter quelques gourmandises concoctées par les bénévoles de TARMAC, rencontrer une travailleuse sociale ou simplement s’installer près de la cheminée pour discuter, bouquiner, jouer aux cartes…

Etre accompagné

Avoir des activités (sociales, culturelles, sportives…)

Se reposer

La Halte Mancelle


Dans l’accueil de jour dédié aux personnes seules, on peut :

Prendre un repas

Prendre une douche

Laver son linge

Consulter un médecin

Se reposer

Etre accueilli avec son animal de compagnie

Travailleurs sociaux et bénévoles se croisent et se complètent pour accueillir au mieux les cinquante à soixante personnes.

Les premiers arrivent à l’ouverture, dès 9 heures. Des hommes et des femmes isolés et, pour la plupart, à la rue. A l’étage, des salles d’entretien permettent de rencontrer les travailleurs sociaux.

Mais la Halte Mancelle, c’est aussi et surtout un lieu de vie. Autour du repas, de la cafetière, sur les banquettes de la salle télé ou dans la cour, les conversations se nouent. On lit le journal, on commente l’actualité, on parle un peu de tout et de rien.  On fait, tout simplement, une pause.

« J’avais envie de m’engager auprès de ceux qui vivent dans la rue. Je pars du principe que toute personne a des choses à partager, à donner, pour peu qu’on prenne la peine de la rencontrer, de la connaître », explique Annie, un peu émue. « Et puis, je voulais me sentir utile. Il suffit de peu de choses pour rendre les gens heureux. Et pour recevoir en retour. C’est un partage ».